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Les 87 m² de capteurs photovoltaïques sont constitués de 26 kits. Tuiles et capteurs restent esthétiquement homogènes.
La toiture à deux pentes de cette maison à ossature bois dispose de 87 m² de tuiles solaires.
Dans les nouveaux éco-lotissements de la commune de Villars-de-Lans, en plein cœur du massif isèrois du Vercors, le plan local d’urbanisme demande de recourir aux énergies renouvelables à hauteur de 53 %.
Pour répondre à cette demande, l’entreprise locale Bourguignon a construit une maison de 140 m² à ossature bois dont l’une des deux pentes du toit – celle au sud-est est recouverte de 57,2 m² de tuiles Alpha Solaire d'Edilians. Soit 26 kits d’une capacité de production annuelle estimée à environ 8,5 kWc.
L’intérêt de cette solution se révèle multiple. Technique et énergétique en premier lieu, car les modules affichent d’un rendement de 159 Wc/m², équivalent à celui de panneaux classiques ; esthétique aussi, car les kits se marient avec les tuiles Alpha 10 Ste Foy de teinte ardoisée.
L’énergie non stockée est destinée, pour deux tiers de la production, à l'autoconsommation, et pour le reste, à la revente sur le réseau de distribution électrique.
« Terreal ne produit plus de petits éléments de couverture à fonction photovoltaïque, mais nous restons présents avec les équipements de moyenne dimension Solterre, d’ailleurs présents sur des chantiers d'expérimentation E+C-.
Cependant, nous restons en recherche et développement sur ce marché de niche. Le problème, pour nous qui disposons d’un catalogue de quelque cinquante modèles de tuiles en terre cuite, c’est de tous les adapter aux capteurs. Ce qui suppose retenir des cellules rigides ou flexibles selon leur profil.
Les principaux critères de qualité des tuiles sont l'étanchéité et l'esthétique. L'ajout de la fonction de production d'énergie ne doit pas les perturber. Pour faire évoluer le métier de couvreur, nous travaillons sur le concept de toiture positive qui devrait répondre à la future réglementation sur les constructions. »