NF DTU 60.1 - Plomberie sanitaire pour bâtiments

NF DTU 60.1 - Plomberie sanitaire pour bâtiments

Cette partie du NF DTU 60.1 a été mise à jour suite à la reconnaissance, comme traditionnelles, des canalisations en matériaux de synthèse PE-X, PB et multicouches.




Le NF DTU 60.1 “Plomberie sanitaire pour bâtiments” donne des spécifications de mise en œuvre :


L’ensemble de ces travaux s’entend à l’intérieur des bâtiments, que ces derniers soient neufs ou existants.
La version en vigueur de ce NF DTU, à la publication de ces fiches, est celle de décembre 2012, amendée en décembre 2019.


N.B. : Ces fiches rapportent l’essentiel du NF DTU 60.1. Elles ne se substituent en aucun cas à ce document normatif. Pour tout complément souhaité sur ce type de mise en œuvre, consultez le DTU disponible auprès de l’Afnor ou du CSTB.

 

 

  1. NF DTU 60.1 - 1re partie - Canalisations d’alimentation en eau froide et en eau chaude sanitaire

 

Domaine d’application

 

La partie 1-1-1 du NF DTU 60.1 "Plomberie sanitaire pour bâtiments" traite des spécifications de mise en œuvre des canalisations d’alimentation en eau froide et eau chaude sanitaire (ECS), à l’intérieur d’un bâtiment neuf ou existant.

 

Elle vise les travaux :

  •    d’alimentation en eau froide et ECS des appareils sanitaires ;
  •    de raccordement des équipements de production d’ECS ;
  •    de branchement des canalisations d’eau froide sanitaire ;
  •    de jonctions entre bâtiments ;
  •    d’alimentation des réseaux extérieurs d’arrosage ou de puisage.

 

Les spécifications de mise en œuvre sont applicables dans toutes les zones climatiques ou naturelles françaises, y compris en climat tropical humide.

 

La partie 1-1-1 du NF DTU 60.1 ne vise pas :

  • les travaux de réparation ;
  • les canalisations d’alimentation ventilées à l’air libre ;
  • les réseaux :
    • d’eau à usage spécifique ;
    • de chauffage et de climatisation ;
    • d’irrigation enterrés ou non ;
    • d’incendie ;
    • d’adduction d’eau ;
  • la mise en œuvre des appareils sanitaires et ceux de production d’ECS.

La version en vigueur de la partie 1-1-1 de ce NF DTU, à la publication de cette fiche, est celle de décembre 2012, amendée en décembre 2019.

 

Matériaux visés

 

Les exigences que doivent respecter l’ensemble des composants nécessaires à la mise en œuvre des canalisations d’alimentation en eau froide et eau chaude sanitaire (canalisations, robinetterie, filtres, matériaux de rebouchage, etc.) sont données dans la partie 1-2 du NF DTU 60.1 "Critères généraux de choix des matériaux", amendée en décembre 2019.

 

Mise en œuvre : l’essentiel

 

Conception des réseaux

Le réseau de distribution en eau doit être aussi court que possible et permettre une alimentation continue des différents appareils desservis ainsi qu’un accès aisé pour la vidange, le rinçage et la désinfection des canalisations.

 

Un accès aisé est également indispensable pour tous les organes de manœuvre, de sécurité et de protection des installations. Ces derniers servent à prévenir la pollution de l’eau potable.

 

Tout élément mis en œuvre sur les canalisations doit pouvoir être retiré en laissant la canalisation en place.

 

Les canalisations doivent être protégées contre les effets du gel qu’elles soient enterrées ou non.


Mise en œuvre

Avant d’être mises en œuvre, les canalisations sont façonnées. Le façonnage peut consister en la réalisation de coupe, de filetage, de cintrage et/ou de perçage des tubes. Le choix de la technique dépendra de la nature de ces derniers. Avant assemblage, les bavures et limailles éventuelles sont éliminées.

 

L’étape suivante est la réalisation de l’assemblage des éléments façonnés. Ce dernier, également dépendant de la nature des canalisations, peut se faire par vissage, par soudo-brasage, par soudage autogène, par brasage capillaire, par raccord à compression, par raccords spéciaux, par raccords à sertir (sertissage radial ou à glissement), par raccords à emboîtement ou mixte, à l'aide de brides ou de piquages.

 

Plusieurs types de mise en œuvre peuvent être envisagés :

 

  • en aérien sur support :

Il s’agit de disposer les canalisations en apparents ou dissimulées dans une gaine technique ou dans un coffrage. La dilatation des canalisations doit être prise en compte lors de la mise en œuvre des supports, des accessoires et lors de la traversée des parois.
La fixation des tuyaux peut se faire à l’aide d’étriers ou de colliers métalliques ou plastiques selon la nature des canalisations. Dans le cas de canalisations en PE-X, PB ou multicouches, ces derniers doivent être munis d'une protection sur leur face en contact avec le tube.
Dans le cas d’une mise en œuvre dissimulée, les caniveaux ou gaines verticales doivent permettre l’accès aux canalisations pour leur maintenance et leur inspection.

 

  • en incorporation dans les éléments du gros œuvre :

Dans ce type de mise en œuvre, les canalisations peuvent être enrobées, encastrées ou engravées dans les éléments du gros oeuvre, selon leur nature et le lieu d’incorporation (dans un plancher ou dans un autre élément de la structure de gros œuvre).
Dans le cas d’un enrobage dans une dalle pleine, les éléments incorporés (canalisation, gaine ou fourreau) doivent :

  • être situés entre les nappes d’armature de chacune des deux faces (si existantes) ;
  • permettre un enrobage de béton au moins égal au diamètre de la plus grosse gaine, avec un minimum de 5 cm ;
  • être séparés horizontalement d’au moins un diamètre de gaine, avec un minimum de 5 cm ;
  • permettre, au droit des croisements ou lors d’empilages localisés, un bétonnage correct.

Dans le cas de canalisations en PE-X, PB ou multicouches, un fourreau doit être utilisé dès lors que la température de l'eau est susceptible de dépasser 60°C.


    Dans le cas de canalisations enterrées, les dispositions spécifiques ci-dessous s’appliquent :

    • ne pas disposer les canalisations enterrées dans des zones soumises à des charges et surcharges extérieures ;
    • les canalisations doivent reposer sur le sol sur toute leur longueur et recevoir un remblayage (réalisé à partir d’éléments fins et homogènes) allant jusqu’à 20 cm au-dessus des tuyaux ;
    • le parcours du réseau doit être signalé par un grillage avertisseur disposé à environ 20 cm au-dessus de la génératrice supérieure des canalisations.

     

    Tout équipement raccordé mis en œuvre sur les canalisations doit être démontable sans avoir à déposer les tuyaux. Il s’agit des pompes de circulation, des surpresseurs et réducteurs de pression, vannes et robinets, etc. Dans le cas de canalisations en PE-X, PB ou multicouches, l'assemblage de deux flexibles ou plus, bout à bout, n'est pas autorisé.

     

    Tout réseau qui n’a pas d’usage pour la consommation humaine doit être signalé à l’aide de signes distinctifs. Des étiquettes d’identification doivent être disposées sur les vannes principales d’installation d’eau froide et chaude.
    Avant utilisation, les canalisations mises en œuvre doivent faire l’objet de contrôle, à l’aide des essais suivants :

    • rinçage des canalisations ;
    • essais d’étanchéité ;
    • essais de fonctionnement ;
    • désinfection avant mise en service ;
    • équilibrage des réseaux bouclés d’eau chaude sanitaire si présence.

     

     


    N.B. : Cette fiche rapporte l’essentiel de la partie 1-1-1 du NF DTU 60.1. Elle ne se substitue en aucun cas à ce document normatif. Pour tout complément souhaité sur ce type de mise en œuvre, consultez le DTU disponible auprès de l’Afnor ou du CSTB.

     

     

    1. NF DTU 60.1 - 2e partie - Canalisations d’évacuation gravitaire des eaux usées et des eaux pluviales

     


    Domaine d’application

     

    La partie 1-1-2 du NF DTU 60.1 “Plomberie sanitaire pour bâtiments” précise les exigences de mise en œuvre des canalisations d’évacuation gravitaire des eaux usées et des eaux pluviales, à l’intérieur d’un bâtiment, que ce dernier soit neuf ou existant.

    Elle vise également les canalisations d’évacuation enterrées extérieures au bâtiment et qui ne représentent pas, pour tout ou partie, un réseau d’assainissement public.

    Les spécifications de mise en œuvre sont applicables dans toutes les zones climatiques ou naturelles françaises, y compris en climat tropical humide.

     

    La partie 1-1-2 du NF DTU 60.1 ne vise pas :

    • les règles de conception et de dimensionnement des installations d’eaux pluviales (voir NF DTU 60.11 partie 3) ;
    • les équipements et appareils auxquels les canalisations sont raccordées ;
    • les dispositions relatives au stockage des eaux ;
    • les descentes d’eaux pluviales mises en œuvre à l’extérieur du bâtiment, ni la mise en œuvre des systèmes d’évacuation des eaux pluviales par effet siphoïde ;
    • les travaux de réparation ;
    • la réutilisation des eaux usées.

     

    La version en vigueur de la partie 1-1-2 de ce NF DTU, à la publication de cette fiche, est celle de décembre 2012.

     

    Matériaux visés

     

    Les exigences que doivent respecter les canalisations, les accessoires et les matériaux de rebouchage, nécessaires à la mise en œuvre des canalisations d’évacuation gravitaire des eaux usées et des eaux pluviales, sont données dans la partie 1-2 du NF DTU 60.1 “Critères généraux de choix des matériaux”.

     

    Mise en œuvre : l’essentiel

     

    De manière générale, les eaux usées et les eaux pluviales doivent être évacuées séparément, et peuvent être rassemblées à l’extérieur du bâtiment.

     

    Nota : Le règlement sanitaire interdit l’évacuation des eaux vannes dans les canalisations d’évacuation des eaux pluviales et vice-versa. Par dérogation, seules les eaux ménagères peuvent être tolérées à condition que le système d’égout public le permette.

     

    Les colonnes de chute doivent être prolongées en ventilation jusqu’à l’air libre et au-dessus des locaux habités.

     

    Les canalisations d’évacuation peuvent être en :

    • fonte (NF DTU 60.2) ;
    • PVC (NF DTU 60.32 et 60.33) ;
    • Cuivre (NF DTU 60.5).


    Elles ne doivent pas cheminer dans :

    • les conduits :
      • de fumées ;
      • de ventilation ;
      • d’ordures ménagères ;
    • l’épaisseur d’un isolant de mur de façade.

     

    Elles peuvent être fixées à la structure du bâtiment ou à une paroi, à l’aide de colliers dont les fixations seront compatibles avec la nature de la paroi ou de la structure, hors béton précontraint où elles sont interdites.

     

    Les canalisations doivent, a minima, avoir une pente de 1%, afin d’assurer l’évacuation rapide et sans stagnation des eaux.

     

    Tout percement d’un passage pour la traversée d’une paroi ne doit pas faire défaut à la stabilité de la structure, ni à l’étanchéité à l’eau du support. En cas d’utilisation de fourreau, ce dernier doit avoir un diamètre intérieur environ 2 mm supérieur au diamètre extérieur de la canalisation. Le paragraphe 5.5.2 du NF DTU 60.1 Partie 1-1-2 traite particulièrement de la traversée de planchers.

     

    Dans le cas de canalisations enterrées, les dispositions spécifiques ci-dessous s’appliquent :

    • ne pas disposer les canalisations enterrées dans des zones soumises à des charges et surcharges extérieures ;
    • les canalisations doivent reposer sur le sol sur toute leur longueur et recevoir un remblayage (réalisé à partir d’éléments fins et homogènes) allant jusqu’à 20 cm au-dessus des tuyaux.

     

    Afin de vérifier l’absence de fuite sur le réseau, des essais de mise en service doivent être mis en œuvre à la fin des travaux.



    N.B. : Cette fiche rapporte l’essentiel de la partie 1-1-2 du NF DTU 60.1. Elle ne se substitue en aucun cas à ce document normatif. Pour tout complément souhaité sur ce type de mise en œuvre, consultez le DTU disponible auprès de l’Afnor ou du CSTB.

     

     

    1. NF DTU 60.1 - 3e partie - Appareils sanitaires et appareils de production d’eau chaude sanitaire

     


    Domaine d’application


    La partie 1-1-3 du NF DTU 60.1 “Plomberie sanitaire pour bâtiments” constitue les clauses techniques types pour la mise en œuvre des appareils sanitaires et des appareils de production d’eau chaude sanitaire (ECS) à l’intérieur des bâtiments neufs ou existants.

     

    Les appareils sanitaires visés dans le présent document sont :

    • les lavabos, vasques, plans de toilette et lave-mains ;
    • les éviers ;
    • les bidets sur pied ou suspendus ;
    • les cuvettes de WC sur pied ou suspendues avec réservoir de chasse attenant ou indépendant ;
    • les receveurs de douche acryliques ou céramiques ;
    • les baignoires acryliques ou en acier émaillé, y compris celles à brassage ;
    • les urinoirs ;
    • les bâti-supports associés aux appareils sanitaires.

     

    Sont également pris en considération les éléments de robinetterie et ceux permettant la vidange de ces appareils sanitaires (bondes, siphons, robinet de chasse d’eau, etc.).

     

    Les appareils de production d’ECS visés par le NF DTU 60.1 sont :

    • les chauffe-eau :
      • à production instantanée ;
      • à accumulation ;
      • thermodynamiques ;
    • les préparateurs d’ECS ;
    • les échangeurs.

     

    Les spécifications de mise en œuvre sont applicables dans toutes les zones climatiques ou naturelles françaises, y compris en climat tropical humide.

     

    La partie 1-1-3 du NF DTU 60.1 ne traite pas de la production d’eau chaude solaire.
    La version en vigueur de la partie 1-1-3 de ce NF DTU, à la publication de cette fiche, est celle de décembre 2012.

     

    Matériaux visés

     

    Les exigences que doivent respecter l’ensemble des composants nécessaires à la mise en œuvre des appareils sanitaires et des appareils de production d’ECS (lavabos, éviers, cuvettes, chauffe-eau, accessoires, etc.) sont données dans la partie 1-2 du NF DTU 60.1 “Critères généraux de choix des matériaux”.

     

    Mise en œuvre, l’essentiel : appareils sanitaires

     

    Les prescriptions de mise en œuvre des appareils sanitaires sont précisées dans l’article 4 du NF DTU 60.1 dont les principales sont données ci-dessous :

    Pose des lavabos suspendus et accessoires
    La hauteur d’installation de ce type d’appareils sanitaires doit être comprise entre 85 et 95 cm par rapport au sol fini. La mesure sera prise au niveau de la partie supérieure de la plage de robinetterie, au droit du trou de robinetterie.

     

    La fixation peut se faire de différentes manières. Il est à retenir que celle par cheville n’est pas autorisée dans le cas de cloisons en plaques de plâtre avec ossature métallique ou en carreaux de plâtre alvéolaires ni sur des murs avec doublages. De même, le cas du bâti-support adossé en plaques de plâtre avec ossature métallique ou en carreaux de plâtre alvéolaires n’est pas permis.

     

    Un mastic sanitaire (ou tout dispositif étanche à l’eau) doit être prévu entre le lavabo et la surface d’appui du support.

     

    Pose des bidets suspendus
    La hauteur d’installation d’un bidet suspendu doit être comprise entre 38 et 50 cm par rapport au sol fini.
    Le bidet est mis en œuvre sur un bâti-support adossé ou autoportant. Le premier cas n’est pas permis en cas de cloisons en plaques de plâtre avec ossature métallique ou en carreaux de plâtre alvéolaires.
    Comme pour un lavabo suspendu, un mastic sanitaire (ou tout dispositif étanche à l’eau) doit être prévu entre le bidet et la surface d’appui du support.

     

    Pose des cuvettes de WC suspendues
    Seuls les WC fonctionnant avec un réservoir d’un volume supérieur à 6L d’eau sont visés par le NF DTU 60.1.

    Au même titre qu’un bidet :

    • la hauteur d’installation d’une cuvette de WC suspendue doit être comprise entre 38 et 50 cm par rapport au sol fini ;
    • la cuvette est mise en œuvre sur un bâti-support adossé ou autoportant. Le premier cas n’est pas permis en cas de cloisons en plaques de plâtre avec ossature métallique ou en carreaux de plâtre alvéolaires ;
    • un mastic sanitaire (ou tout dispositif étanche à l’eau) doit être prévu entre la cuvette de WC et la surface d’appui du support.

     

    Une attention particulière doit être portée sur la position des raccordements encastrés et des fixations de manière à obtenir la hauteur d’utilisation souhaitée et une parfaite horizontalité de la cuvette.

     

    Pose des receveurs de douche céramiques
    Dans le cas où un calage de fond s’avère nécessaire, il doit être assuré par 4 supports rigides de dimensions minimales 10 x 10 cm, disposés uniformément. Si l’une des dimensions du receveur est supérieure ou égale à 90 cm, 5 supports rigides seront mis en œuvre.

    Les supports maçonnés doivent être scellés sur la chape ou la dalle.

    Un espace libre d’a minima 5 mm doit être laissé entre le bord du receveur et le support.

     

    Mise en œuvre, l’essentiel : appareils individuels de production d’eau chaude sanitaire

     

    Selon les supports, l’appareil individuel de production d’eau chaude sanitaire pourra être fixé par cheville ou avec platine. La fixation par cheville n’est pas autorisée en cas :

    • de cloisons :
      • en carreaux de plâtre plein ;
      • en plaques de plâtre avec ossature métallique ;
      • en carreaux de plâtre alvéolaires ;
    • de murs avec doublage.

     

    Afin de laisser suffisamment de place en cas de remplacement de parties amovibles nécessaires (telles que résistance ou thermostat), les appareils mis en œuvre verticalement doivent être situés a minima :

    • à 10 cm du plafond ;
    • à 40 cm du sol ;
    • à 12 cm de toute paroi verticale autre que celle où l’appareil est fixé.

     

    A l’exception des chauffe-eau à écoulement libre, un groupe de sécurité doit alimenter l’appareil en eau froide. Il doit être mis en œuvre au plus près de l’appareil de production d’ECS, sans dépasser 3 m.



    N.B. : Cette fiche rapporte l’essentiel de la partie 1-1-3 du NF DTU 60.1. Elle ne se substitue en aucun cas à ce document normatif. Pour tout complément souhaité sur ce type de mise en œuvre, consultez le DTU disponible auprès de l’Afnor ou du CSTB.


     

     


    Source : batirama.com

    17 Commentaires
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    • par Veziac
    • 13/07/2023 10:32:31

    Bonjour, on n'utilise pas les anciennes canalisations G.N. pour l'eau froide car le diamètre et l'épaisseur ne sont peut-être pas conformes et il risque d'y avoir intoxication suite au dépôt laisser par le gaz. En outre je ne suis pas certain que les anciens tuyaux cuivre pour le gaz soient tous en cuivre suffisamment pur pour un usage de transport de l'eau (traces de métaux lourds) Pour plus d'informations réglementaires, merci de vous rapprocher du CSTB, de l'AFNOR ou de la FFB.

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    • par pierre
    • 13/07/2023 08:50:24

    Bonjour, la réglementation permet-elle de passer de l'eau froide sanitaire dans un tube cuivre qui servait auparavant pour le gaz naturel ?

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    • par Veziac
    • 06/07/2023 16:09:29

    Bonjour, si les alimentations d'eaux EC et EF ainsi que les eaux usées sont déjà en place chez le locataire du dessous, oui, si ce n'est pas le cas, rapprocher vous du propriétaire et/ou du syndic.

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    • par william
    • 05/07/2023 19:29:33

    Peut-on faire passer chez le locataire du dessous mes alimentations d'eaux EC et EF chez lui ainsi que mes eaux usées?

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    • par Veziac
    • 17/05/2023 15:22:00

    Bonjour, les seuls raccords admis sous plaques de plâtre sont les raccords à sertir. Nous n'avons pas trouvé d'obligation pour les couleurs, bien qu'il soit d'usage d'utiliser le bleu pour l'eau froide et le rouge pour l'eau chaude. Il est préférable d'identifier les départs et arrivées pour plus de facilité. Pour plus d'information, merci de vous rapprocher du CSTB, de l'AFNOR ou de la FFB.

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    • par yaya
    • 17/05/2023 13:44:22

    Bonjour est il interdit de mettre des coudes Per dans le placo et les tuyau doivent il être absolument rouge et bleu car le plombier a tout fait en bleu chaud et froid . Je précise que je reçois du public étant un gite . Merci de vos réponses

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    • par rasty
    • 07/02/2023 20:10:12

    Par mesure de confort et d'économie, j'ai rajouté un petit chauffe-eau sous l'évier éloigné du ballon à accumulation, afin d'éviter de gaspiller de l'eau jusqu'à ce qu'elle arrive chaude. Je l'ai intercalé dans le circuit d'eau chaude arrivant du cumulus(en série) et ça fonctionne parfaitement depuis une vingtaine d'années, sans incident ni intervention.

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    • par rene
    • 06/02/2023 16:45:48

    Dans un bâtiment neuf, nous subissons des inondations en permanence depuis janvier 2021. Que puis-je faire ? Quels recours ? Nous sommes désespérés.

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    • par rasty
    • 19/12/2018 17:33:52

    pas moyen de laisser un commentaire, ça bogue !

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    • par Ded
    • 17/10/2018 00:31:13

    Bonjour, un plombier doit-il la pose d'un SPEC /SEL sous le receveur de douches posé sur plots et sur dalle béton? Que dit le DTU sur ce sujet? Merci pour vos réponses. Très cordialement.

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    • par titi4040
    • 08/03/2018 14:24:21

    Problème d'évacuation WC PVC 100 - pente normale mais à 3 mètres coude de 90 à gauche pour traverser un mur en béton de 20 cm et encore coude de 90 à droite pour 3 mètres plus loin rejoidre l'évacuation de l'immeuble - d'où des engorgements successifs à ma charge puisque sur ma conduite - ce dispositif est-il légal et comment y remédier car les coopriétaires ne sont pas réceptifs à une réhabilitation - pourrais- je avoir la règlementation à ce sujet - merci.

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    • par Mickey
    • 05/04/2017 01:11:17

    Les brasures à capillaire sont elles acceptées dans une saignée quand on ne peut pas faire autrement?

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    • par RAYANE
    • 15/12/2016 09:46:18

    JE CHERCHE dtu 60.11 en pdf

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    • par ERGIHEM
    • 23/11/2016 09:16:36

    Je viens d'acheter un appartement et je constate que l'alimentation en eaux froide et chaude ne sont pas conformes aux normes dtu. Le tout en per pas de collecteur de distribution d'alimentation de l'évier en eau froide chaude et reprit pour alimenter en eau le salle de bain donc impossible en cas de fuite dans la salle de bain il faut fermer l'alimentation générale sur le palier. Je pense que ce n'est pas aux normes DTU.

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    • par marc
    • 13/10/2016 11:16:09

    N'étant pas du métier je demande de l'aide. Rénovation faite en 2009 radiateurs en fonte de plus de 30 ans circuits refaits à neuf avec chaudière neuve mais pas de désembuage effectué par le plombier sur quel dru puis je m'appuyer pour en discuter avec lui car ma chaudière est à changer en urgence. Merci de votre aide.

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    • par sas guionniere
    • 30/05/2016 17:27:26

    Quid de la responsabilité de l'étanchéité à l'air/eau des réseaux de plomberie sortant/traversant les coffres ou cloisons (RT2012) : à qui incombent les calfeutrements? A celui qui traverse ou à celui qui est traversé?

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    • par dear
    • 27/04/2016 21:27:03

    Interessant ! si seulment on pouvait avoir accès gratuitement à ce genre de documents...

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