Dans le cadre de la journée de la Femme, Velux organise une session de formation 100% féminine.

 

Elles sont chefs d’entreprise, femmes d’artisans installateurs ou salariées d’une entreprise de charpente-couverture. A l’occasion de la Journée de la Femme, elles profitent d’une formation 100% féminine organisée par la société Velux.

 

Lancée en mars 2010 pour répondre à une demande liée au développement des femmes dans les entreprises du bâtiment, cette session accueille depuis hier et jusqu’à ce soir, 8 stagiaires au centre de formation de Morangis (91).

 

« Elles bénéficient de la même formation que les hommes, confie Anne Cordelier, chargée de communication Velux auprès des installateurs. La seule différence, c’est que cette session leur est entièrement dédiée. » Seule présence masculine, celle du formateur.

 

Désacraliser la technique

 

Au programme de ces deux journées, la découverte dans le détail du plan produit de la société (fenêtre de toit, raccordements d’étanchéité, solutions périphériques d’isolation renforcée, conduit de lumière naturelle), les principales règles de prescription (bien choisir taille et modèle, calculer la bonne surface d’éclairement, connaître les règles d’urbanisme) et la phase pratique de mise en œuvre avec la pose d’une fenêtre et d’un raccordement d’étanchéité.

 

« Cette formation répond à un besoin, explique Anne Cordelier. Nous organisons régulièrement des tables rondes avec nos clients artisans et les remontées nous ont poussé à organiser des sessions dédiées aux femmes. Beaucoup de nos clients travaillent avec leur conjointe. Ce sont leurs épouses qui gèrent la relation client en amont et elles ressentaient le besoin de mieux les renseigner par téléphone, de jouer un rôle de prescripteur des produits, de proposer les accessoires comme les stores de couleur par exemple. »

 

De son côté, le volet pratique du stage vise à démystifier la complexité de la technique. Une fois les points singuliers bien pris en compte, c’est presque un jeu… de femmes !

 

Source : batirama.com / Céline Jappé