Le secteur du BTP évolue dans un environnement de plus en plus exigeant : pression sur les marges, délais serrés, inflation des matériaux et multiplication des contraintes administratives.

Dans ce contexte, la capacité des entreprises à rester organisées et réactives devient un véritable avantage compétitif. C’est pourquoi de nombreuses PME et TPE cherchent aujourd’hui à simplifier leur gestion quotidienne et à centraliser leurs informations. Altagem s’inscrit dans cette dynamique en proposant une solution pensée pour les équipes terrain et leurs dirigeants, afin de gagner en clarté, en productivité et en sérénité.

 

Le casse-tête quotidien des PME du BTP

 

Chaque matin, dans les bureaux d’une PME du bâtiment, la même scène se répète : des chefs d’équipes et des conducteurs de travaux autour d’un tableau blanc, de fiches papier ou d’un fichier Excel. Chacun tente de coordonner les équipes, d’attribuer les véhicules, de vérifier les habilitations et de s’assurer que le matériel nécessaire sera bien disponible sur les chantiers.

 

Ce ballet d’organisation, bien que familier, est souvent source de stress et de perte de temps. Dans un secteur où les marges sont sous pression et où les retards s’accumulent, une mauvaise planification ou une information perdue peut coûter très cher.

 

Selon une étude relayée par PlanRadar, 9 projets de construction sur 10 connaissent des retards, et 28 % des entrepreneurs estiment ces retards très fréquents (PlanRadar). Ces imprévus ne sont pas toujours liés au chantier lui-même : ils résultent souvent d’un manque de coordination interne.

 

La question est donc simple : comment les PME et TPE du BTP peuvent-elles reprendre le contrôle de leur organisation pour gagner du temps, éviter les erreurs et préserver leur rentabilité ?

 

1. Les limites d’une organisation dispersée

1.1. Le recours massif aux outils “bricolés”

Dans beaucoup d’entreprises du BTP, l’organisation repose encore sur :

• des fichiers Excel plus ou moins tenus à jour,

• des calendriers papier,

• des conversations WhatsApp ou SMS pour informer les équipes.

 

Ces méthodes, si elles semblent pratiques et peu coûteuses, deviennent vite ingérables dès que l’activité se développe. Un simple changement – un salarié absent, un véhicule en panne, un retard d’approvisionnement – entraîne une cascade d’appels et de modifications.

 

1.2. Les risques concrets d’une gestion éclatée

• Perte de temps considérable : des heures entières passées à mettre à jour manuellement des plannings.

• Manque de visibilité : impossible pour un dirigeant de savoir en temps réel où sont ses équipes et quels matériels sont utilisés.

• Erreurs coûteuses : un salarié sans habilitation sur un chantier, un engin attribué au mauvais site, une absence oubliée dans le planning.

• Trésorerie fragilisée : les devis non envoyés ou les relances oubliées ralentissent les encaissements.

 

Dans un contexte déjà tendu, ces problèmes d’organisation deviennent de véritables coûts cachés.

 

2. Des coûts cachés qui menacent la rentabilité

2.1. Retards de chantiers : un fléau du secteur

Toujours selon PlanRadar, la majorité des chantiers connaissent des retards. Or, un retard ne coûte pas seulement en image auprès du client. Il entraîne aussi :

• des pénalités de retard,

• des heures supplémentaires,

• des réaffectations d’équipes,

• un décalage des encaissements.

 

2.2. L’impact des matériaux et de l’inflation

 

L’inflation sur les matériaux ajoute une contrainte supplémentaire. D’après Vertuoza, en France, le prix du béton a augmenté de 61 %, le bois de 46 % et les plaques de plâtre de 32 % sur les dernières années (Vertuoza).

 

Lorsque les marges sont déjà fragiles, une organisation inefficace vient amplifier ces hausses et fragiliser encore davantage la trésorerie.

 

 

2.3. Un secteur fragilisé par les défaillances d’entreprises

 

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : les défaillances d’entreprises du BTP ont augmenté de +40,2 % en 2023 et de +29,9 % sur les neuf premiers mois de 2024, dépassant même les niveaux d’avant-crise (Modèles de Business Plan).

 

L’une des principales causes de ces défaillances réside dans un manque de maîtrise des coûts indirects et des délais.

 

3. Centraliser pour mieux piloter

Face à ces défis, les PME et TPE du BTP ne peuvent plus se permettre de disperser leurs outils et leurs données. La clé réside dans la centralisation.

 

3.1. La planification intuitive

 

Un outil de planification centralisée permet d’affecter en un clic :

• les équipes,

• les véhicules,

• le matériel.

 

En cas d’imprévu (absence, panne, retard d’approvisionnement), l’ajustement est immédiat et visible par tous.

 

3.2. Le suivi RH et social intégré

 

Les entreprises du BTP doivent composer avec des contraintes sociales fortes : habilitations, congés, absences, temps de travail. Un suivi dispersé entraîne des oublis ou des erreurs, parfois lourdes de conséquences.

 

En reliant directement le planning à la gestion RH (absences, habilitations, heures travaillées, pré-fiches de paie), on évite les doublons et les erreurs de conformité.

 

 

3.3. La gestion commerciale connectée

 

Un chantier ne se résume pas à l’exécution : il faut aussi gérer devis, acomptes, factures et relances. Là encore, centraliser ces informations permet de sécuriser les encaissements et de fluidifier la trésorerie.

 

 

4. Altagem : une réponse pensée pour le terrain

 

C’est précisément ce que propose Altagem, un logiciel tout-en-un conçu pour les entreprises du BTP de 10 à 50 salariés.

 

4.1. Une interface simple et mobile-first

 

Accessible aussi bien au bureau que sur le terrain, Altagem permet aux chefs d’équipes et aux dirigeants d’avoir une vision claire et partagée de l’activité.

 

 

4.2. Un gain de temps immédiat

 

Fini les fichiers Excel dispersés ou les plannings bricolés : tout est centralisé, mis à jour en temps réel et accessible à tous les niveaux.

 

 

4.3. Des bénéfices concrets

• Moins d’erreurs : suivi automatique des habilitations et des absences.

• Plus de réactivité : ajustement des plannings en cas d’imprévu.

• Trésorerie protégée : devis et relances gérés sans oubli.

• Vision globale : dirigeants et conducteurs de travaux savent où en est chaque chantier, chaque jour.

   

Conclusion : construire la performance par la centralisation

Dans un secteur où chaque heure compte et où chaque erreur se paie cher, la centralisation des données n’est plus une option : c’est un levier indispensable de compétitivité.

 

Équipes, matériel, plannings, RH et commercial : gérer ces aspects séparément, c’est multiplier les risques d’erreurs et les pertes de temps. À l’inverse, une solution comme Altagem permet de transformer ce casse-tête quotidien en un pilotage fluide, rentable et serein.

 

Les entreprises du BTP qui franchissent ce cap ne gagnent pas seulement du temps : elles sécurisent leur avenir et construisent les bases d’une croissance maîtrisée.