En 2010, l?activité des membranes d?étanchéité synthétiques se maintient avec plus de 5 millions de m2 de toitures couvertes. Soit plus de 20% de parts de marché.
En cette période un peu contrastée, Serge Ferlay, réélu dans ses fonctions de président du CMES lors de l’Assemblée Générale du SFEC (Syndicat Français des Enducteurs Calandreurs), y voit « une reconnaissance du marché des qualités de durabilité et d’adaptabilité à tous types de toitures des membranes d’étanchéité synthétiques.
Ce sont les qualités du matériau combinées aux qualités de mise en oeuvre qui expliquent le succès de ces produits. » De fait, la mise en oeuvre des membranes d’étanchéité synthétiques (sans flamme, ni dégagement de gaz toxiques ou fumées, ni poussières, ni résidus sur les chantiers) permet d’assurer de bonnes conditions d’hygiène, de travail et de sécurité au feu aux poseurs.
En 2010, pour maintenir une bonne qualité de pose de leurs systèmes d’étanchéité et la pérennité des ouvrages, les fabricants ont continué à s’investir pleinement dans la
formation continue des poseurs et à assurer une assistance technique (en amont et pendant la mise en oeuvre) aux entreprises qui en ont fait la demande.
Dans le cadre de l’engagement volontaire pour le développement durable pris par l’industrie européenne du PVC : Vinyl 2010, ils ont également encouragé leurs clients à faire appel à la filière de recyclage des déchets de membranes d’étanchéité synthétiques en fin de vie, mise en place en 2009.
Alors qu’un nouvel engagement volontaire encore plus ambitieux : VinylPlus prend le relais de Vinyl 2010 pour les 10 ans à venir - avec notamment l’ objectif de multiplier par plus de trois le volume de matière recyclée annuellement d’ici 2020 - les fabricants réitèrent leur appel à la filière pour qu’elle s’implique pleinement dans la gestion responsable de leurs déchets de chantiers et qu’elle contribue activement à la réalisation de ce nouvel objectif.
Source : batirama.com