Des LEDs sinon rien sur le salon Light + Building 2018

Premières impressions du salon Light + Building à travers quelques exposants du secteur éclairage. Les LEDs sont devenues omniprésentes.

Petite confession, les images contenues dans cet article ont été prises samedi 17 mars, à la veille de l’ouverture du salon Light + Building, au moment où tout le monde accélère pour finir le montage des stands et poser la moquette.

 

Grâce à la visite réservée aux photographes, nous avons pu voir en détail quatre stands de concepteurs de luminaires : Wever et Ducré, tobias grau, Delta Light et Artemide.

 

 

Wever et Ducré fidèle au fil de fer

 

 

Tous les deux ans, Wever et Ducré affine son esthétique du lampadaire en fil de fer. Il présente cette année, sa collection WIRO, conçue par Bernd Steinhuber. WIRO est disponible en applique, suspension, sur pied pour table, sur pied au sol, etc.

 

Dans ses luminaires Wiro, Wever et Ducré monte des sources T30/32 à LEDs, de 30 W à 60 Wmaximum, au style très rétro qui imite les anciennes lampes à incandescence. La collection Wiro compte une trentaine de modèles différents, plus la possibilité de fabriquer à la commande des formes libres.

 

 

 

 

tobias grau, le luminaire à piles

 

 

 

 

L’allemand tobias grau, sans majuscules insistent-ils, conçoit lui aussi des luminaires à LEDs à la fois pour le tertiaire et pour l’univers domestique. Il met en avant à Light + Building un nouveau luminaire à LEDs que l’on pose sur un meuble.

 

C’est un luminaire sans fil, à piles, que l’on peut poser dans un sens ou dans l’autre, que l’on peut prendre en main, etc. tobias grau vend soit aux électriciens, soit directement au public dans une douzaine de magasins de la marque, installé dans les principales villes d’Allemagne.

 

 

 

 

 

Delta Light, des luminaires pour le tertiaire

 

 

 

Le Belge Delta Light, de son côté, se consacre entièrement au marché du tertiaire et propose à la fois des luminaires intérieurs et des sources pour l’éclairage autour des bâtiments. L’entreprise a noué un partenariat étroit avec DIALux, l’outil de conception lumière utilisé par près de 700 000 concepteurs lumière dans le monde.

 

Tous les luminaires Delta Light se trouvent dans la base de données DIALux. De plus des fichiers au format ULD, celui de DIALux sont téléchargeables depuis le site Delta Light. A Light + Building, Delta Light met en scène plusieurs nouveaux produits, dont les cercles imbriqués Multiloop, dérivés de leur gamme de cercles lumineux Superloop.

 

Delta Light propose aussi une structure tubulaire lumineuse composée de segments métalliques et de parties lumineuses. Elle introduit à Light + Building un nouveau type de luminaire mural. Il ne contient pas d’alimentation électrique. Il est fixé au mur par un aimant sur un boîtier encastré invisible. Un système d’induction entre le boîtier et le luminaire fournit le courant nécessaire à l’éclairage. Depuis octobre dernier, Delta Light dispose d’un show-room à Paris, le Delta Light Studio.

 

 

 

 

Artemide, la déco par l’innovation

 

 

 

Artemide fait appel à de grands noms, comme Herzog et Demeuron pour la conception de ses luminaires. Il montre au moins trois nouveautés à Light + Building : des luminaires translucides, des luminaires tubulaires que l’on peut former de n’importe quelle manière, des luminaires « boîtes d’œufs » portant des ouvertures circulaires de différents dimaètres encastrées dans toutes sortes de formes.

 

 

 


Source : batirama.com / Pascal Poggi

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